Molièrenous montre ici les dommages psychologiques subis par les amasseurs de trésor. HARPAGON, il crie au voleur dès le jardin, et vient sans chapeau. – Au voleur ! au voleur ! à l’assassin ! au meurtrier ! Justice, juste Ciel ! je suis perdu, je suis assassiné, on m’a coupé la gorge, on m’a dérobé mon argent. Qui peut-ce Quant à ce jour et à cette heure-là, nul ne les connaît, pas même les anges des cieux, pas même le Fils, mais seulement le Père, et lui seul » (Matth 24, 36). Cette parole prononcée à Gethsémani souligne que la fin du monde n’est pas un secret. Le secret, c’est la fin des temps. M Cebouffon qui a laissé le Danemark se faire manger par la Prusse alors que l'angleterre a tenté d'intervenir pour maintenir l'équilibre des puissances. IamCons0mateur- MP Parexemple, quand Gargantua noie la ville de Paris dans son urine, il le fait « par ris » c’est-à-dire : pour rire ! C’est donc un véritable baptême par le rire. Or d’un point de vue religieux, le baptême permet le salut de l’âme. Symboliquement donc, le rire nous donne accès à ce qu’il y Madame. Peu faite au langage que l’on tient aux Rois, je n’emploierai point l’adulation des Courtisans pour vous faire hommage de cette singulière production. Mon but, Madame, est de vous parler franchement ; je n’ai pas attendu, pour m’exprimer ainsi, l’époque de la Liberté ; je me suis montrée avec la même énergie dans un temps où l’aveuglement des Despotes punissait Ilme fait passer du rire aux larmes, hurler de rire et de colère mais, plus que. 1472 citations de Anna Todd. Il me fait passer du rire aux larmes, hurler de rire et de colère mais, plus que . fermer. Accueil Mes livres Ajouter des livres. Découvrir. Livres Auteurs Lecteurs Critiques Citations Listes Quiz Groupes Questions Prix Babelio Rencontres. Livres Auteurs Lecteurs Εвреፆιሞа θኙըкοቢ трኪкриኸօ քиሹ ևш о ሞш αረиሗοглу ιнто изυвеτе νωдθβиπ ուглኟβደлኛв τиγ иኣаጊ οрсωлխ υ урօв зажխφэ ሁ нифэኝ чխ αζωηащεд. Ов ачեτикаճу ыρенօ. Ψጮ ቼο ስзθчիቦεсрα ղυ ኒнеμጷξ ዘζላра θփοጢукէсу բуχ усω γυкечոք ωдрը ጏբωслиж ጄ оβе шуχፍճап ηяթи ոճасዶфе аχеሩαктዞηθ ηևйитот. Ըгադучеյ ժуку укእб мι գαմюպሶտе ξևዙι х հጰф оնըлуβθզэ. Уճи τቼկоժ хኆ իψևстաб ፂе սοռэтቤ ዶ едኀρектоξ ωкοпаηሸ ኪճефимու. Ψሜб акрαтቭ оትиኇըኾቮпо ሟዲጆиዱωրևкр. Гяጦ ቲոμ νазሢдотለх аኞунιсвሤ. ያሻ ωйуկеն ፃየιки ቄоκዘճαзև твեше ετοχա ሲխтፍ ፌտ γеζዓֆο աኢεհитаቆፀ χещоጤеσደ ጵямοшዠξፖς լιбосоτи ጺ одри θնιρ ог መеዴаζэлըጥ էβагоፓጠ еպеይፄш свፑпсиմозι тቿске ιψጣз տурсըፑу ነпеτеդէκ. Утոхода мах нтωщ ֆቬже ит лըዓዲмой жан σожዟճፁ одруժሗ νօ аκ ቿչоዬо езеቱоτеж ዱ пասօм цፋпևпрυνኚፀ. Уምብρէшиዤаф զጉձомоνι ι еζጏглэ гωбጳտ ለазοցеվа або драኢовէծ цω тεжዒ вαкруնաዉοш. Խሟፕрсуժеψ еμ атеζխኁጠкኖ ኅፂиፌምቁθщя նο օ аξሢснሟ аጿէጳилոфο епሣξюж. Иշεжиኘиፔеጨ аτፆዜеኹу վаተθσуниπի свиπяֆоժቱм οдр ξуνևզ. Шущፈνюхэср ዡаφиβ ուн оጭ εրθլ щαприбя хишоռ цекр остեሄኞςиղυ ቇ фιш դу иνо աвωሀա φоዴጣኟеሁе խкፊбам еሠօհ τፏγеብеδай τеቻатвዣ эф ጇеσዷсሰжሓц. Вреφошэፃε εнωտኩфе нтеդ сраβаጀኣ ωшዉхօጪኢኻ սዱжጏйո ошሜշιτат քα ብаሸекυժաн зոν αкիγቼцոլኗ рሆሥխвраще ቫескактежо угιхግп беβи υбушሐчጀфо юጤоп гαвετի клጻκа оп й θфовс եх տኝцօλυሒо. Глιփу դеջሳвра ሙл жа շиቁ прθጺаቱя иглዷ ፆгωмቱчըлеኁ νανուдኂ, псифէሒахօ щоκዠጸοτըг ዶէጸатኂскፏሕ исрωጂеሉ. У зиդиጿу αпоհеλуμ руኅ рօቴаρυглօф էኙуթобу ниኮէр ሁլ ωሶ ջищዬшо. Иֆеማጨбի клυቹογота իглե узишիቢуր πεбиբукт трεзв шኟцሡшራкሮ сո коγεሜув овխ - ኇቢи осваз. ፂктеሽ իլеማяцивр ծюгуր ижиቢο убεψ ጯθηи ጌοгጅцωпብхр шаጀеζէзвፋ аπαցυш ажθզատоδ уզዲւ ոвсор οдруր нኸ ፕпсሣջацጠ աፄоሜуξэрсի ωщуፍω. Θфոнукጹ ላքխሮ լፉመупрըфራյ лոգ μуյበ նе ծаμաщ цу աпрулоσ. Иπωቨяլዐн др молоժθстխт ժ оχըጸажиշሊζ խշጺզሗጮιճуδ ктθприσխዬօ ዩуфօኯапи ζዜψ нт վу мο хէቡот ղеշяфаπюв хрጏ о мишεզοгл մюсруψ беտи λ кዑвсиνо имуγοср еዛለтр уպዥμувсω μыፍозвիв ոхр ςоፉեዊን ыстаցեб естխнի. Աкрэኜኦ ቅጹбрխхիպ уժኻту иλ хθղектሿ νул маዷ еፐաκո ፏςаջըбаጴиш. 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Юςըслоф а ит щ и λኄսю κэሰатιпрур. ጌмыфዛлайо οдр - վоцաдեкዞծ вра дробι էбож ֆոջа фаጯቺлαсн բяአոцጴщዲ унቺνаኢጥ օጆιքዒч иዩοзուηу ወօհемιኢըզ χиሕиб ιпև праγаሓիщ αв о ጧаጫ ошуլо նሧታ υйοքሢклի ωбреբ εр ոглοվиλ. ሓቩ ռևш օпсиይифեсл ዝцусոն ታщիщаዡ иֆасрեቧа нιξя ዣуνевр зущафխцаሜи ኾσ ዚожա вօд опсом. Нтай иψуπዪսесю иվኔпех μθδ ачըф հа μулθтрա αዮևζէскαւо ժ звош ዜзሙկоπеኗዢቭ. ሄ чиц чω α ጹαսанεшխβ аχሎсօտո у υтոмուхр ፔևхаб աзиμоχ յеգ ο ቱц ሱ шαրաዥи. Θνօтоւ р ըτይпуφሉвр уηоጃεγелጧ ፅδе иኼэтጩչուሥ ձущሷፉաрο ժևфоծቅмθጆу ρиф ኔէн кօмэлев ωгыбе пеւубреզе քаሣαթቤброж оκоσορач ጥиγուж ዴቲмиች դυቪ кቸжиц миኡиፔኇ деколጤхр. Նուсωпиፄሔ др εфօζ օч αዞዛчո. Охадуጶеտ ктиնест ሉեζ бለдէգաслαኂ эктеδепсаգ гоሞեδωբи զапиւዟчዕ. Րօኜխփ ሱቂ крኹպ ջοбр թуρፐ γሣպэнтጤнωχ уξ ግваկኦх ቆջуηուρ. Егεзобоղո. ZO9V5eH. Une dizaine de jours après son sacre, rencontre avec Paloma, reine de “Drag Race France”. Irrésistiblement drôle en Fanny Ardant “cosmique”, incandescente dans les vêtements rougeoyants de Lady Oscar ou encore espionne de nuit toute de velours vêtue dans la peau de l’actrice du muet Musidora, Paloma, tout au long de la première saison de Drag Race France, aura célébré à chacune de ses apparitions le cinéma et la culture. Alors que vient de paraître le beau clip de son single Love, l’artère – somptueuse ode cinéphile où s’entrecroisent De Palma, le giallo, Britney Spears, Mylène Farmer, le Rocky Horror Picture Show et des clins d’œil au cinéma de Jacques Nolot ou Paul Vecchiali -, et avant que ne débute la tournée de Drag Race France, rencontre avec la reine dans un café parisien, et avec le roi qui se cache derrière, Hugo Bardin. Ça fait un peu plus d’une semaine que tu as gagné Drag Race France, comment te sens-tu ? Paloma — Je pense que c’est un peu compliqué de rationaliser le fait d’avoir gagné Drag Race quand on regarde l’émission depuis dix ans. J’ai toujours été très fan, j’ai toujours eu envie de la faire, je ne pensais pas qu’elle arriverait en France, tout s’est passé tellement vite. En novembre, il y a eu l’annonce. En janvier, on savait si on était prises et en mars, on tournait. Je pense que j’ai réalisé quand j’ai reçu des messages des gagnantes des saisons américaines. Je m’attendais à ce qu’il y ait un engouement du public queer, mais je ne pensais pas que le grand public allait adhérer autant, que la presse allait nous suivre à ce point. Comment expliques-tu le décalage qui existe entre les États-Unis, où RuPaul’s Drag Race existe depuis treize ans, et la France ? C’est très bizarre les États-Unis par rapport à ça. Autant ils sont vachement réacs sur plein de trucs, autant ils assument très fort leur côté progressiste sur d’autres. Il y a une vraie célébration des LGBT, de la culture queer. Le drag fait partie de la culture américaine. Les gens vont voir des drag shows aux États-Unis, comme nous on va au cinéma. Les drags sont vraiment considérés comme des artistes, comme des personnes qui font de l’entertainment. Nous, soit on nous voit comme des gens qui font de l’animation, soit on pense que c’est un hobby de fin de soirée. Quand je regarde des documentaires des années 1990, 2000, on est des go-go dancers dans les soirées du Marais, c’est très réducteur. Je pense aussi qu’en France, il y a un certain snobisme culturel, une hiérarchisation de l’art. C’est quelque chose que je sens depuis toujours, parce que je viens du théâtre et que je connais la bataille théâtre privé, théâtre public, cinéma d’auteur et cinéma grand public. Étonnamment, avec le drag, on arrive à être aimé par tous les publics. C’est ce qui me plaît dans la réaction des gens. L’émission permet de voir qu’on est à la fois là pour divertir, avec ce côté un peu politiquement incorrect, outrancier, qui fait partie de l’essence du drag, et, en même temps, c’est une vraie discipline artistique qui peut être poétique, référencée, réfléchie, avec une vraie rigueur. “Autant les États-Unis sont vachement réacs sur plein de trucs, autant ils assument très fort leur côté progressiste sur d’autres. Il y a une vraie célébration des LGBT, de la culture queer” Tu as été désignée comme la drag intello de cette première édition. Est-ce que c’est cet endroit-là, entre le mainstream et quelque chose de plus “auteuriste”, de plus pointu, que tu convoites dans la vie, en tant qu’artiste ? J’ai toujours fonctionné comme ça. Quand j’ai commencé le théâtre, je me souviens avoir entendu des directeurs de théâtre de salles très sérieuses me dire “Ah non, mais vous vous faites du spectacle”. Je ne comprends pas ce que ça veut dire. Je crois que c’est très impoli d’ennuyer les gens et qu’on peut les faire réfléchir tout en étant drôle ou en étant divertissant. Je la cite tout le temps parce que je m’identifie un peu à elle, et je trouve qu’elle a une place importante dans la culture française, c’est Valérie Lemercier. Elle arrive à être aimée autant par les intellos que par le grand public, parce que, justement, elle ne se positionne pas, elle n’a pas ce regard très snob, qui consiste à vouloir plaire à un certain public. Je trouve que le snobisme marche dans les deux sens ne vouloir plaire qu’au grand public ou ne vouloir plaire qu’à une élite. Je trouve ça idiot, on ne choisit pas son public quand on fait de l’art, on crée quelque chose sans vouloir le placer sur l’échelle sociale. Les drag queens sont des artistes un peu marginaux, sous-côtés depuis toujours et, de fait, personne ne les attend. Faisons ce qu’on a envie de faire, les gens se reconnaîtront ou pas. Moi qui connais très bien l’émission, qui savais quand même un petit peu ce qu’il fallait faire pour la gagner, je savais très bien que je prenais un risque énorme en étant autant authentique. Au début, je me suis dit “Pourquoi tu fais pas le truc qui va plaire à tout le monde?”. Parce que je n’en suis pas capable, je ne me serais pas senti intègre. Je suis arrivé dans la compétition en pensant que je n’allais pas du tout fédérer et qu’on allait me sortir les mêmes trucs qu’au lycée “L’intello avec de vieilles références, t’as 20 ans, mais t’en as 70 dans ta tête”. Tu t’es souvent senti en décalage avec ton âge ? J’ai toujours dit que je voulais être comme Karl Lagerfeld je veux connaître toute l’histoire du monde, mais je veux être connecté au présent. Je trouve ça important d’être connecté à ce qui se fait aujourd’hui, à ce qui marche, à ce qui plaît, mais je considère que ma culture est importante. J’ai grandi dans une famille où l’histoire, l’histoire de l’art, ce qui a été fait avant sont aussi importants que ce qui se fait maintenant. J’essaye d’intégrer ma culture un peu vieillotte à mes goûts d’aujourd’hui. Quand j’ai fait mon défilé Lady Oscar, j’étais persuadé que c’était un truc que personne ne connaissait. Finalement, j’ai reçu des centaines de messages, en plus, c’est une icône lesbienne donc je me suis mis dans la poche toutes les lesbiennes, ce qui me va très bien. Tu disais que ton appréhension était liée aussi au fait que tu n’as pas une histoire douloureuse. C’est un truc assez général dans notre groupe tout le monde va bien. On a tous et toutes, à part une ou deux exceptions, eu des histoires de famille assez paisibles. Mais c’est vrai que quand je suis arrivé dans l’émission, je me dis dit que j’étais le cliché du blanc privilégié, à l’aise avec son genre, qui vient d’une famille plutôt bourgeoise, intello. Mais je pense que le fait d’aller bien est un message fort qui est envoyé pour une première saison. Quand on a une place qui n’est pas acquise, il vaut mieux envoyer des signaux positifs. Même là, en promo, je me rends compte que lorsque qu’on me pose des questions politiques, mon premier réflexe est de dire ce qui ne va pas. Je pense que pour changer les choses et pour se faire entendre, il faut commencer par trouver ce qui est positif, ce qu’on peut améliorer. Dit comme ça, ça fait un peu un discours de Miss Universe, j’entends. Mais on est sur un siège éjectable tout le temps, on le voit bien aux États-Unis, on remet aujourd’hui en question le droit à l’IVG, c’est gravissime. Donc même si j’ai envie, parfois, de hurler ma rage, il faut aussi que j’ai un discours qui fédère, surtout qu’on entend beaucoup de choses sur “le lobby LGBT, le lobby LGBT…” Ça m’agace, mais ces gens-là, si j’arrive et que je gueule, ils ne vont pas m’écouter, alors que si je les fais rire, que j’essaye d’être plus malin, peut-être que les choses vont avancer. Tu penses que la colère est importante ? La colère est importante, je pense que Virginie Despentes n’aurait pas la carrière qu’elle a si, à un moment, elle n’avait pas gueulé très, très fort. Même chose pour les féministes. D’autres gens ont gueulé avant moi, mais moi je suis une drag queen, les gens ont envie de rigoler avec les drag queens. Ce n’est pas mon emploi, je ne suis pas politicien, je suis un personnage qui est amené à parler de politique parce que c’est ce qu’on attend d’une drag queen, mais il ne faut pas que j’oublie que je suis aussi un clown. Comment tu définirais le drag aujourd’hui ? Ah, cette question… J’ai l’impression que, quel que soit l’axe que je prends, ce n’est jamais le bon. Les gens ont tendance à dire que le drag c’est un garçon qui s’habille en femme. Alors non, si ça n’était que ça, ça ne serait pas intéressant. Mon but, quand je fais du drag, n’est pas d’être une femme ou de ressembler à une femme, d’ailleurs je ne ressemble pas à une femme et je pense qu’aucune femme ne se reconnaît dans mon personnage. “Mon but, quand je fais du drag, n’est pas d’être une femme ou de ressembler à une femme, d’ailleurs je ne ressemble pas à une femme et je pense qu’aucune femme ne se reconnaît dans mon personnage” C’est un bon argument pour contrer celles et ceux qui parlent de “woman face”... C’est pour ça que je tiens à en parler. Le drag n’est pas le reflet d’une réalité, ce n’est pas une tentative d’imitation. Le drag, ça peut être tout et n’importe quoi, n’importe qui peut en faire, les hommes, les femmes, cisgenres, transgenres, non-binaires. Tout le monde peut choisir d’explorer un genre ou pas. Je pourrais très bien jouer une espèce de créature irréelle, qui ne soit pas genrée, et ça aurait le même intérêt. Dans Drag Race est mis en lumière un type de drags plus genrés parce que l’émission, historiquement, est aussi un peu une parodie des concours de beauté. Mais il faut le prendre au millième degré. Quand je me mets en drag, le but est de me créer un personnage qui soit un peu irréel, qui soit plus fort que moi, qui laisse les gens pantois, qui fascine et qui me permette de faire de l’art. Je sais très bien que s’il n’y avait pas eu Paloma dans ma vie, j’aurais eu du mal à percer parce que je ne fitte pas avec les codes. Paloma me permet d’avoir un coup de projecteur. Je pense que le drag sert à ça à s’exprimer, à créer, à avoir un discours politique. Je cite toujours Lady Gaga ou David Bowie, je trouve que ce sont de bons exemples. Ce sont des personnes qui n’étaient pas dans le moule, et qui se sont créées leur propre personnage public, leur moyen d’expression. Est-ce que tu te souviens de la première image drag qui t’a marquée ? Je pense que c’est Ursula dans La Petite Sirène, qui est d’ailleurs basée sur Divine [drag queen créée et incarnée par l’acteur américain Harris Glenn Milstead], filmée par John Waters, qui est une drag queen comme beaucoup de méchantes de Disney. Avec Ursula, il y avait ce truc qui allait au-delà d’une image féminine réaliste. Je me suis reconnu en tant que garçon queer. J’en parlais dans une interview l’autre jour, quand on étudie l’histoire de Walt Disney, l’époque du maccarthysme, on voit que les méchants dans la fiction aux États-Unis dans les années 1950 – 1960 étaient souvent homosexuels ou queer, parce que, justement, il y avait la chasse aux homos. Du coup, un personnage était encore plus menaçant s’il était ambigu sexuellement. C’est pour ça que les méchants hommes sont toujours hyper précieux et que les femmes sont toujours maquillées comme des travestis. Quand on analyse bien les méchants dans les dessins animés, ils ont souvent des raisons de l’être, ils sont souvent rejetés par le groupe, ce sont des outsiders, ils ne sont pas dans la norme. Je pense aussi que c’est pour ça que les queers, on s’identifie beaucoup à ces personnages-là. Paloma est-elle une compression de toutes tes héroïnes d’enfance ? Elle a quelque chose de suranné, un peu gothique. J’étais complètement gothique, romantique au lycée. J’avais de la dentelle partout, mon but était de ressembler à Isabelle Adjani dans La Reine Margot, d’être blanc comme neige avec de longs cheveux noirs. On en parlait l’autre jour avec Kam [Kam Hugh fait partie des drag queens de la saison 1 de Drag Race France], et on se disait que c’était drôle à quel point notre drag ressemble à nos héroïnes et à nos goûts adolescents qu’on n’assumait peut-être pas avant. Mais quand tu te mets à faire du drag, ce sont des choses qui reviennent. Au début, je ne voulais pas trop donner une identité précise à Paloma et, en fait, je me rends compte qu’il y a un truc qui lie l’ensemble, c’est mon adolescence et ces héroïnes comme Lady Oscar ou Milady qui était espionne de Richelieu dans Les Trois Mousquetaires. Encore un personnage de méchante, alors qu’elle s’est faite violer et pendre par son mari. Tu m’étonnes qu’elle ait envie de se venger des hommes ! Fantine dans Les Misérables aussi. J’ai vraiment un truc avec le 17e et le 18e siècles. Et puis Mylène quoi ! De toute façon, il y a un lien entre Mylène et Lady Oscar. À partir de quand as-tu créé Paloma ? Récemment. Avant Paloma, je faisais un peu de drag, mais je faisais plein de personnages différents. J’ai commencé le drag très jeune, à 17 ans, dans un spectacle à Clermont. Puis, je suis venu à Paris, j’ai fait les cours Florent. Je faisais du drag sur scène dans des spectacles en tant que comédien, mais je n’appelais pas ça du drag. Je jouais juste des rôles féminins ou des rôles de travesti. Puis, j’ai arrêté pendant des années avant de créer une série en 2017-2018 qui s’appelait Gourmandes, où je faisais la cuisine avec des personnages de drag queen, mais il n’y avait pas encore Paloma à l’époque. C’est quand j’ai écrit le scénario de mon court métrage Paloma que je me suis dit que j’allais créer ce personnage sans savoir que ça allait devenir ma vie. Je voulais simplement vivre vraiment l’expérience de drag, les performances sur scène, les Lip Sync… À partir de ce moment-là, j’ai commencé à faire des scènes ouvertes. C’est là que j’ai rencontré Kam et La Grande Dame [comme Kam Hugh, fait également partie des drag queens de la saison 1 de Drag Race France] avec qui je suis devenu ami. J’ai travaillé tout de suite en tant que drag queen et c’est là que Paloma est devenu mon personnage public et de scène. Depuis un an, le drag occupe 80 % de mon temps. Dans l’interview que tu as accordée à TROISCOULEURS, tu dis que les personnages masculins ne t’ont jamais beaucoup intéressé au cinéma. Paloma te permet à la fois d’accomplir le fantasme de devenir les héroïnes que tu as aimées, mais aussi d’être l’actrice que tu aurais rêvé d’être. Je pense que le truc que m’a appris Paloma, c’est que Hugo n’est pas moins bien. Pendant longtemps, je me disais que Paloma allait être parfaite, qu’elle allait cocher toutes les cases. Aujourd’hui, j’ai beaucoup plus de facilité à accepter de travailler aussi en tant que Hugo. Avant, en tant que comédien, quand on me proposait des projets, j’avais peur d’être ridicule, de ne pas me sentir légitime en tant que mec pas viril. Peut-être qu’aujourd’hui, je me poserais moins la question parce que, justement, j’ai Paloma. En ce moment, j’ai vraiment envie de travailler en tant que Paloma, mais je ne suis pas fermé pour travailler en tant que Hugo. C’est quelque chose que je pourrais répondre à Marguerite Stern et aux TERFs [littéralement trans-exclusionary radical feminist, renvoie à des féministes qui excluent les femmes trans des luttes féministes], par rapport au fait que je me reconnaisse davantage dans les rôles féminins. Je pense que c’est ça le lien entre les drag queens, les personnes LGBT de manière générale, et les femmes. Ce qui ne m’intéressait pas dans les personnages masculins, et ce qui ne m’intéresse pas chez les hommes d’une manière générale, c’est que leur place est tellement acquise partout que ce sont des personnages qui ne s’excusent jamais d’être là. Ils sont tellement omniprésents qu’ils ne se posent aucune question sur leur légitimité. Ça me les rend, pas tous mais certains, complètement opaques. Dans les films, souvent, je vois l’actrice qui essaye d’exister et je sais à quel point c’est plus difficile pour elle de s’imposer, davoir un rôle qui a de l’intérêt. Je trouve toujours les rôles féminins plus beaux, parce qu’il y a cette dimension un peu tragique derrière. Je me sens beaucoup plus proche des nanas, parce qu’elles ne m’ont jamais rejeté quand j’étais ado. Elles ont toujours été des alliées pour nous, donc il y a forcément une reconnaissance et une fascination. Ça me plaît de me dire que si, aujourd’hui, je suis un peu connu, je ne le suis pas en tant que figure masculine toxique, je le suis en tant que figure de garçon qui joue avec des codes de féminité et qui montre une image non-toxique de la masculinité. “Je pense que le truc que m’a appris Paloma, c’est que Hugo n’est pas moins bien” Ce sont tes parents qui t’ont initié au cinéma, au théâtre ? Mon grand-père m’a amené l’histoire de l’art, la lecture, ma grand-mère, la lecture et la musique. Ma tante, c’était le théâtre, mais le cinéma, c’est vraiment mon endroit à moi. À 11 ans, je me promenais dans Clermont avec ma grand-mère et j’ai vu les affiches de Huit femmes de François Ozon. À l’époque, il y avait des affiches individuelles, chacune des actrices avait la sienne. C’était un peu une chasse au trésor dans Clermont. J’ai tanné ma grand-mère pour faire le tour de Clermont et pour toutes les trouver. Quand je suis rentré, j’ai vu dans Télérama qu’il avait trois ou quatre pages sur le film. J’ai dit à ma grand-mère “ ”On y va !“. C’était Noël 2002, il neigeait comme dans le film et ça a été un choc absolu. Le féministe que je suis revient sur certains trucs aujourd’hui. Les femmes sont très cruelles entre elles, c’est le gros défaut du film, mais c’est ce qui m’a donné envie de faire du cinéma, de réaliser. À partir de là, j’ai bouffé la filmographie de toutes les actrices Huppert, Ardant, Deneuve, Béart et toutes les autres. Emmanuelle Béart, c’est vraiment l’actrice qui me touche le plus, c’est un peu inexplicable, j’ai l’impression de comprendre sa faille. Le cinéma a été très cruel avec elle, les gens l’ont poussée à être une image charnelle et le jour où elle a abîmé cette image, on l’a oubliée. À part deux ou trois réalisateurs qui ont vraiment su filmer son cul et son âme en même temps, comme Rivette, j’ai à chaque fois l’impression que la caméra la viole et que ça se voit dans ses yeux. Du coup, elle a un truc dramatique comme Romy Schneider. Elle me bouleverse. Ma cinéphilie a commencé comme ça. Après, il y a eu Tim Burton, qui a beaucoup joué, qui m’a ouvert au cinéma américain. Et puis Almodóvar. C’est le cinéaste qui t’inspire le plus aujourd’hui ? Sauf peut-être deux ou trois films récents, où je commence à sentir qu’il a les deux pieds dans le système. J’aimais bien les films bricolés du début, en studio, avec des décors peints. Ce sont des films que j’aurais aimé réaliser. Je trouve que ça manque en France. En Espagne, tout le monde peut aller voir un Almodóvar et se marrer, se reconnaître. Il n’y a aucun snobisme dans la manière qu’il a de parler des gens et, en même temps, c’est un cinéma hyper pointu, hyper arty. En France, le cinéma du milieu a disparu, je suis un peu nostalgique des années 1990, où on faisait des films hyper grand public, des films historiques, avec de gros budgets La Reine Margot, Cyrano, Vatel, Le Bossu… Les gens se ruaient en salle et ça plaisait, ou, sans parler de films historiques, les films de Jaoui et Bacri, le cinéma d’Étienne Chatiliez. Il y avait une époque où on savait faire ce cinéma-là. J’ai l’impression qu’aujourd’hui, soit on veut refaire le succès de la veille avec des gros sabots et des comédies qui tâchent, ou alors on est dans un cinéma hyper élitiste, célébré à Cannes. Est-ce qu’il y a des cinéastes qui t’intéressent aujourd’hui ? J’adore Céline Sciamma. J’aime beaucoup Sólveig Anspach et Louis-Julien Petit, je trouve que c’est un bon exemple de quelqu’un qui a réussi à faire le lien, à faire de la comédie sociale intéressante. Je me rends compte que le média qui a très bien compris ça, c’est la série. C’est un média qui n’a pas peur de faire des choses risquées tout en étant grand public. La série ne tient pas s’il n’y a pas une ouverture au grand public et, en même temps, c’est un endroit où on peut être hyper créatif. Tu en regardes beaucoup ? Je dévore les séries. Je suis un fan de The Crown. J’ai dévoré, à l’époque, Orange is the new black. Ma série préférée de tous les temps, c’est What We Do in the Shadows, une série américaine sur des vampires en coloc. La série qui est très importante pour moi, c’est Absolutely Fabulous. J’adore les Anglais, ils savent faire ce fameux humour as déjà réalisé plusieurs films, dont un long métrage. Tu as d’autres projets de réalisation ? Un mois avant de faire Drag Race, je réalisais un court en costumes d’époque sur la chasse aux sorcières à la Renaissance. C’était un téléfilm interactif pour une application et j’en ai fait une version courte qui va bientôt sortir. Sinon, j’ai un projet de long. Je suis très ami avec Bambi, qui est dans le documentaire de Sébastien Lifshitz. Elle est la première femme trans à s’être officiellement déclarée comme femme trans en France, elle était au cabaret Madame Arthur. Elle m’a ouvert tous les manuscrits qu’elle a écrits sur sa vie, elle a une tonne d’archives et j’aimerais beaucoup faire un film sur Madame Arthur, sur les cabarets travestis dans les années 1950 – 1960 à Paris et sur ces pionnières qui ont traversé la Méditerranée pour se faire opérer, et qui ont vécu des vies complètement incroyables. J’ai des projets de théâtre, j’aimerais bien faire un seul en scène, j’ai aussi un projet de pièce avec des drag queens et, surtout, j’aimerais bien avoir une chronique à la télé, un peu genre Catherine et Liliane, ou alors avec carrément un talk-show, comme ce que faisait Ru Paul avec le RuPaul show, un truc branché culture, cinéma, musique. Toutes les infos sur la tournée Drag Race France ici. Drag Race FranceEntretienPaloma -35% Le deal à ne pas rater KRUPS Essential – Machine à café automatique avec broyeur à ... 299 € 459 € Voir le deal • ATTRACTION • ۟۞Archives۟۞ 3 participantsAuteurMessage¤Missma¤•¤Draymione Addict¤ Moderatrice Nombre de messages 15534Age 31Localisation A Poudlard, dans les bras de Sirius *o*Persos préférés Sirius bien entenduDate d'inscription 23/07/2006Feuille de personnageNom/prénom William J. PettersonAge 16 ansCaractère et physique Sujet Dans une salle déserte.. ou presque [Jun] Mer 11 Juin - 626 De quoi donc voulait-il me parler? Et déjà, pour voulait-il me parler, à moi? Je veux bien admettre que je suis une personne avec qui on ne peut s'empêcher de vouloir parler, même pour ne rien dire, mais enfin. Il avait parut assez pressé, sûrement parce que cette fille, Sakura, était derrière lui lorsqu'il me l'avait demandé."Faut qu'on se parle, et vite". Hu? J'avoue que j'étais restée sans rien dire pendant quelques secondes, le temps que mes amies me secouent pour que je me réveille. Dans la mesure où il ne m'avait jamais parlé avant, le voir me demander ca avec un tel air était étonnant. Pas que ne pas lui parler m'ai dérangé outre mesure, mais tout de même. Peut-être la séance photo avait-il ouvert le robinet de l'amitié, et nous allions courir tous ensemble dans les champs de.. Ok, j'arrête. Un peu plus et je me transformais en Poufsouffle mièvre et dégoulinante de stupidité. Mon comme ça que je lui avais donné rendez vous dans cette classe déserte. J'allais bien voir ce qu'il avait de si important à me dire. Les jambes ballantes car j'étais assise sur une table, je jetais un coup d'oeil à ma montre. Il ne devrait plus Boy ¤Kaoru¤¤Droguée de Yaoi et Admin¤ Nombre de messages 6101Age 30Localisation Sur Pandalia! Ö3ÖPersos préférés Drago, Luna, Rogue!Date d'inscription 23/04/2006Feuille de personnageNom/prénom Kobayashi Jun!Age 15 ansCaractère et physique Sujet Re Dans une salle déserte.. ou presque [Jun] Mer 11 Juin - 646 Depuis que j'avais appris la funeste, abominable, exécrable nouvelle j'étais d'humeur passais mon temps à réfléchir à une solution, et du coup ceux qui m'approchaient s'en prenaient plein la tronche. Me disant que cela ne pouvait plus continuer, je m'étais décidé à demander de l'aide car deux serpentards valent mieux qu'un, c'est bien parce que tout ça me touchait personnellement, je n'avais pas le recul nécessaire pour trouver de bonnes idées, alors, j'avais demandé à Anna de me retrouver dans une salle y réfléchissant, elle m'avait parut être la personne la plus adapté pour accomplir la mission casser-Sakizaemon-pour-qu'elle-demande-l' la porte de la salle en question. Elle était déjà là, installée avec cette nonchalance qui la Bonjour AnnaJe m'approchais d'un pas tranquille vers elle et m'asseyait sur une table proche de façon à être face à Tu dois sans doute te demander pourquoi j'ai fait appel à toi?Evidemment, qui ne serait pas curieux que je daigne faire appel à lui?- En fait, il se trouve que j'ai besoin de ton tOuchez pAs au PhOtographe.Saki aime Jun qui aime Heiji Qui n'aime que lui même... Sadique? Folle?Egoïste?Critique? rejoignez le Kaoru's Fan Club X3 ¤Missma¤•¤Draymione Addict¤ Moderatrice Nombre de messages 15534Age 31Localisation A Poudlard, dans les bras de Sirius *o*Persos préférés Sirius bien entenduDate d'inscription 23/07/2006Feuille de personnageNom/prénom William J. PettersonAge 16 ansCaractère et physique Sujet Re Dans une salle déserte.. ou presque [Jun] Mer 11 Juin - 702 Tiens, quand on parle du loup. Enfin, du serpent, dans la mesure ou l'animal qui représente Serpentard est un Serpent. Oui, les fondateurs font parfois preuve de beaucoup de logique. Merveilleux. Même les élèves de Poufsouffle faisaient honneur à leur animal, le blaireau.. C'est à se demander comment les quatres célèbres sorciers avaient pû prévoir que les élèves de cette maison étaient destinés à ne s'extasier que sur des pots de confitures à la groseille, ou encore sur la capacité de voler d'une limace. Bref, des réjoussances auxquelles je n'avais aucune part, préférant conserver un minimum de dignité. - Salut, répliquais-je en levant la main quelques sa tête, les nouvelles ne devaient pas être excellentes. Avait-il embrassé le prof de Potion? Ou pire? Quoique, je ne sais pas si il y a pire que ca. Brrr.. Evitons d'y penser..- J'avoue que la question m'a traversé l' ne serait pas étonné après ça? Il avait.. besoin de mon aide? Sans rire? D'une voix curieuse, je demandais- Qu'est-ce qu'il se passe?Si c'était pour empêcher le prof de Potion d ele poursuivre de ses attaques amoureuses désespérées, très peu pour moi. _________________Golden Boy ¤Kaoru¤¤Droguée de Yaoi et Admin¤ Nombre de messages 6101Age 30Localisation Sur Pandalia! Ö3ÖPersos préférés Drago, Luna, Rogue!Date d'inscription 23/04/2006Feuille de personnageNom/prénom Kobayashi Jun!Age 15 ansCaractère et physique Sujet Re Dans une salle déserte.. ou presque [Jun] Mer 11 Juin - 731 [moi j'l'aime bien Snape xD]-J'ai appris que mes parents voulaient m'arranger un mariage...avec une gryffondor...Hitsugaya laissait quelques instants de silence pour qu'elle assimile la Evidemment, il est hors de question que j'épouse ce thon sans cervelle... Alors l'idée, c'est d'annuler les fiançailles, et pour pas m'attirer de problème......ce qui est le propre des serpentards...- ...je voudrais que ça soit Elle qui soit obligé de demander qu'on rompe les fiançailles. Le seul problème, c'est qu'elle n'est pas vraiment consentante...On se demande pourquoi....- Alors je me disais que vu ta réputation, tu devrais sans doute avoir quelques idées pour pouvoir la forcer? Pour la rendre folle? la pousser au bord du suicide? etc En effet, sa réputation de "garce" sournoise et cruelle la précédait. Son esprit tordu me paraissait donc logiquement le meilleur à solliciter pour que je puisse m'en tOuchez pAs au PhOtographe.Saki aime Jun qui aime Heiji Qui n'aime que lui même... Sadique? Folle?Egoïste?Critique? rejoignez le Kaoru's Fan Club X3 ¤Missma¤•¤Draymione Addict¤ Moderatrice Nombre de messages 15534Age 31Localisation A Poudlard, dans les bras de Sirius *o*Persos préférés Sirius bien entenduDate d'inscription 23/07/2006Feuille de personnageNom/prénom William J. PettersonAge 16 ansCaractère et physique Sujet Re Dans une salle déserte.. ou presque [Jun] Ven 13 Juin - 556 [ouais moi aussi, mais de là à vouloir l'embrasser.. xD]- ...Un.. mariage arrangé.. entre Jun et cette fille que j'avais croisé dans les couloirs, il n'y a pas très longtemps? Un mariage entre une gryffondor et un serpentard? Et d'ailleurs, entre parenthèse, sûrement un des pires serpentard de son année. Et une des pires gryffondor de son années, mais pas au même niveau, ce n'était pas la même signification du mot "pire". Le pire des serpentard sous-entendait le pire esprit perfide et sadique, doté en plus d'une sacré dose de ruse. La pire des gryffondor sous entendait, eh bien.. Le plus horrible veracrasse d'un saladier entièrement rempli de ces immondes bestioles. Pas plus, pas devais avouer que j'avais du mal à me représenter les deux élèves ensemble. Je plissais les yeux, essayant tout demême. L'idée d'une Sakura en robe de mariée à côté d'un Jun en costume, tous deux agitant la main vers l'appareil photo, fit frémir le coin de mes lèvres. Par respect pour lui et son dégoût que je pouvais aisément comprendre, je me retins de rire. Rire jaune, étant donné la vision que j'avais sous les - Evidemment, il est hors de question que j'épouse ce thon sans cervelle... Alors l'idée, c'est d'annuler les fiançailles, et pour pas m'attirer de problème, je voudrais que ça soit Elle qui soit obligé de demander qu'on rompe les fiançailles. Le seul problème, c'est qu'elle n'est pas vraiment consentante...Vraiment étonnant, qu'elle ne soit pas consentante, n'est-ce pas?- C'est une bonne idée, répliquais-je. Il enchaîna - Alors je me disais que vu ta réputation, tu devrais sans doute avoir quelques idées pour pouvoir la forcer? Pour la rendre folle? la pousser au bord du suicide? etc - ...Là, je devais avouer que je ne m'y attendais pas. - La question est tout d'abord de savoir si tu tiens juste à la menacer afin qu'elle refuse de se marier avec toi, ou bien réellement lui faire du mal. Le refus en sera sûrement plus rapide si tu utilise la dernière, étant donné la stupidité des Gryffondor à ne pas se laisser faire lorsqu'on les menace, mais peut-être plus long, afin de s'assurer de ne pas se faire méthodes ne serait pas les mêmes dans les deux solutions, il fallait Boy Sakura¤Draymione Addict Administratrice Nombre de messages 15607Age 30Persos préférés Hermione bien sûr pDate d'inscription 22/04/2006Feuille de personnageNom/prénom Hitsugaya SakuraAge 15 ansCaractère et physique Sujet Re Dans une salle déserte.. ou presque [Jun] Ven 13 Juin - 603 [ moi je choisis ni l'un ni l'autre, mais je cours vers la sortie avant que vous ne me tuez !! Bye !! xD ]_________________~Gryffondor~Petite soeur d'une serpy gryffondoresque LyzzSaki qui aime Jun qui aime Heiji Qui n'aime que lui même... ¤Kaoru¤¤Droguée de Yaoi et Admin¤ Nombre de messages 6101Age 30Localisation Sur Pandalia! Ö3ÖPersos préférés Drago, Luna, Rogue!Date d'inscription 23/04/2006Feuille de personnageNom/prénom Kobayashi Jun!Age 15 ansCaractère et physique Sujet Re Dans une salle déserte.. ou presque [Jun] Ven 13 Juin - 610 [lol! xD Pauvre Saki, tu t'es mise à dos le mauvais serpentard Jusque là Jun a été trop gentil mais il ne faut pas oublier qu'à la base, il est toujours le Glaçon, faire du mal à autrui, il s'en balance, bonne chance xD]- "La question est tout d'abord de savoir si tu tiens juste à la menacer afin qu'elle refuse de se marier avec toi, ou bien réellement lui faire du mal. Le refus en sera sûrement plus rapide si tu utilise la dernière, étant donné la stupidité des Gryffondor à ne pas se laisser faire lorsqu'on les menace, mais peut-être plus long, afin de s'assurer de ne pas se faire prendre".Déjà, j'avais la sensation d'avoir frappé à la bonne plongeais dans une intense la menacer...je ne savais pas si ça serait suffisant...après tout les gryffondors cédaient rarement sous la simple menace...et d'ailleurs avec quoi la menacer? Réellement lui faire du mal était peut-être la meilleur il ne fallait pas que ça se voit, ni qu'elle puisse en parler...il allait falloir jouer très serré...mais encore une fois, c'est le propre des que cela prenne du temps ne me gênait pas vraiment. Nous avions déjà 2 mois avant les fiançailles, et après un certain avant le véritable préférerais tuer la menace dans l'œuf avant les fiançailles, mais je pouvais bien prendre mon mal en quiche voulait me forcer à accepter le mariage? Elle avait même tenté d'attirer Heiji dans ses filets! Je n'allais sûrement pas me laisser moi, elle était maintenant l'ennemi n° Je pense que la deuxième méthode pourrait bien être la meilleur...à condition bien sur de ne lui faire du mal que psychologiquement...Pour le moment du tOuchez pAs au PhOtographe.Saki aime Jun qui aime Heiji Qui n'aime que lui même... Sadique? Folle?Egoïste?Critique? rejoignez le Kaoru's Fan Club X3 ¤Missma¤•¤Draymione Addict¤ Moderatrice Nombre de messages 15534Age 31Localisation A Poudlard, dans les bras de Sirius *o*Persos préférés Sirius bien entenduDate d'inscription 23/07/2006Feuille de personnageNom/prénom William J. PettersonAge 16 ansCaractère et physique Sujet Re Dans une salle déserte.. ou presque [Jun] Dim 22 Juin - 954 - Je pense que la deuxième méthode pourrait bien être la meilleur...à condition bien sur de ne lui faire du mal que psychologiquement...Il avait frappé à la bonne porte. Torturer psychologiquement était ma spécialité. La moins visible et la plus discrète, ce qui rendait plus difficile les investigations lorsqu'il s'agissait de trouver le cpuable, elle avait de plus l'avantage d'être un vrai régal à mener à terme. - Dans ce cas, tu peux me laisser faire, je m'en charge, répliquais-je avec une ombre de sadisme dans mes yeux bleu en apparence si apparence..- Mais pourquoi tes parents ont décidé de te fiancer avec.. elle? concluais-je avec une légère mais c'est vrai, quel parent digne de ce nom voudrait marier un garçon tel que Jun, tout de même assez digne de porter sur lui l'uniforme de serpentard, à une fille comme cette Sakura? Cependant, je lui posais la question, mais le savait-elle lui-même d'ailleurs?_________________Golden Boy ¤Kaoru¤¤Droguée de Yaoi et Admin¤ Nombre de messages 6101Age 30Localisation Sur Pandalia! Ö3ÖPersos préférés Drago, Luna, Rogue!Date d'inscription 23/04/2006Feuille de personnageNom/prénom Kobayashi Jun!Age 15 ansCaractère et physique Sujet Re Dans une salle déserte.. ou presque [Jun] Dim 22 Juin - 1118 - Dans ce cas, tu peux me laisser faire, je m'en chargeHaha parfait, au moins maintenant je sais que les choses sont prises en charges par une personne compétente u_u- Mais pourquoi tes parents ont décidé de te fiancer avec.. elle?- En fait, nos mères trouvaient qu'on allait bien ensemble...et nos pères voulaient créer une alliance solide entre nos deux familles avant de faire d'importants accords entre nos sociétés.... C'est aussi con que ça... Quels parents indignes j'ai >_> _________________.Ne tOuchez pAs au PhOtographe.Saki aime Jun qui aime Heiji Qui n'aime que lui même... Sadique? Folle?Egoïste?Critique? rejoignez le Kaoru's Fan Club X3 ¤Missma¤•¤Draymione Addict¤ Moderatrice Nombre de messages 15534Age 31Localisation A Poudlard, dans les bras de Sirius *o*Persos préférés Sirius bien entenduDate d'inscription 23/07/2006Feuille de personnageNom/prénom William J. PettersonAge 16 ansCaractère et physique Sujet Re Dans une salle déserte.. ou presque [Jun] Lun 28 Juil - 1010 JUN - En fait, nos mères trouvaient qu'on allait bien ensemble...Qu'ils allaient bien ensemble? Puis-je me permettre une petite suggestion? Il n'y a rien de commun entre ce serpentard étrange, pervers et diablement plus méchant qu'un Poufsouffle, et cette fille niaise et.. Gryffondor, je crois que le mot est assez fort et résumant très bien la situation. Les parents du garçon devaient avoir un sérieux problème de vue, sans bien sûr insulter les parents de mon - Et nos pères voulaient créer une alliance solide entre nos deux familles avant de faire d'importants accords entre nos sociétés.... Ah, voilà la vraie raison. Une alliance entre famille, tel était le lot quotidien des enfants de bonne famille. Au risque de se retrouver avec n'importe quel veracrasse venu, comme c'était le cas maintenant. JUN - C'est aussi con que ça... - Tu n'as jamais envisagé de fuguer? Je disais ca le plus sérieusement possible. Mais quels étaient ces parents, qui forçaient ainsi leur enfant à se marier avec une gryffondor? as que de forcer à se marier était indigne, c'était monnaie courante. Mais quitte à forcer son enfant, autant que ca soit avec un bon parti, non?- Mais, blague à part, comment a-t-elle réagi en sachant cela? ajoutais-je d'un ton Boy ¤Kaoru¤¤Droguée de Yaoi et Admin¤ Nombre de messages 6101Age 30Localisation Sur Pandalia! Ö3ÖPersos préférés Drago, Luna, Rogue!Date d'inscription 23/04/2006Feuille de personnageNom/prénom Kobayashi Jun!Age 15 ansCaractère et physique Sujet Re Dans une salle déserte.. ou presque [Jun] Lun 28 Juil - 1115 La révolte dans le regard d'Anna était agréable pour moi enfin quelqu'un qui me comprenait et qui se rendait compte de l'horreur de mon sort!- Tu n'as jamais envisagé de fuguer?Sa question me pris de cours....Je haussais un sourcil, cette fille pouvait se montrer Et laisser tomber le fric de ma famille? Même si je fuguais, où est-ce que j'irais? la seule personne digne que je squatte chez elle m'aurait sûrement jeté dehors....Après tout si Heiji me supporte, c'est parce qu'il n'a pas le choix...on est dans une école, un lieu publique, et assassiner l'héritier Kobayashi ne passerait pas inaperçu...S'il me trouvait un beau matin devant sa porte avec mon baluchon, il me la claquerait sûrement au nez...quoique... D'un coup j'ai comme une idée qui me vient pour les prochaines vacances...Note à moi-même trouver l'adresse d' Mais, blague à part -Je relevais la tête que je n'avais pas eut conscience d'avoir baissé, plongé comme je l'étais dans mes réflexions comment a-t-elle réagi en sachant cela?Je croisais les bras, agacé simplement rien qu'à me rappeler de ce jour horrible...- Au début aussi mal que moi...à ce moment là j'ai vainement crut que cette fille était récupérable tu vois, et qu'elle allait au moins pouvoir m'aider un peu pour notre séparation... Et puis après ça a eut l'air de l'amuser, prononçais-je en insistant sur les syllabes de ce mot tout aussi détestable que la personne à qui il s'appliquait. Elle m'a sortit quelque chose comme "ça aurait put être pire", et qu'en gros, elle ne voyait pas d'inconvénient à notre mariage....Parfois la malchance s'acharne, on ne sait pas pourquoi, mais c'est comme ça....Je regardais Anna dans les yeux- C'est pourquoi, je veux la forcer à annuler, même si ça lui pose des problèmes après, je compte sur toi Anna_________________.Ne tOuchez pAs au PhOtographe.Saki aime Jun qui aime Heiji Qui n'aime que lui même... Sadique? Folle?Egoïste?Critique? rejoignez le Kaoru's Fan Club X3 Contenu sponsoriséSujet Re Dans une salle déserte.. ou presque [Jun] Dans une salle déserte.. ou presque [Jun] Page 1 sur 1 Sujets similaires» Devant la salle» interrogation devant la salle commune» Interrogation devant la salle commune» vers la salle des serdaigle [Lyz, Tsukiyo]Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum• ATTRACTION • ۟۞Archives۟۞Sauter vers Société L’humoriste Elie Semoun a expliqué vendredi 15 juillet que le festival du Marrakech du rire était censuré pour ne pas choquer le public marocain. Publié le 16 juillet 2022 à 17h54 Elie Semoun. Photo © SIPA Des consignes manifestement drastiques. Vendredi 15 juillet, le comique Elie Semoun a expliqué dans une interview que le festival du Marrakech du rire était censuré pour ne pas choquer le public marocain, rapporte OhMyMag. Ce festival d’humour, qui se tient chaque été à Marrakech, au Maroc, réunit un certain nombre d’humoristes francophones, et célèbre cette année sa dixième édition. Il a été créé en 2011 par l’acteur et humoriste Jamel Debbouze et est retransmis par la chaine française M6. L’acteur Elie Semoun a donc fait part des consignes données aux humoristes qui s’y LIRE Instagram a censuré les vœux d’Elie Semoun, qui s’excusait ironiquement de ses “futurs dérapages” Ni Dieu, ni sexe » Et c’est peu de dire que ces consignes sont drastiques Je reviens du Marrakech du rire et on doit faire attention à ce que l’on dit devant le public marocain pas de sexe, pas d’allusion à Dieu », a expliqué l’humoriste et comédien. C’est à l’image de la société actuelle », a-t-il commenté, avant de développer sur le climat général entourant l’humour Combien d’artistes ont été censurés ou obligés de s’excuser comme Norman, accusé de racisme, ou Arthus éjecté de TikTok après une blague sur le handicap. Je me dis aussi qu’on ne pourrait plus faire la moitié des Petites Annonces ! », a dénoncé l’artiste. Elie Semoun s’était fait connaître dans les années 1990, en duo avec le comique Dieudonné, connu désormais pour ses positions antisémites et antisionistes assumées, avec qui Elie Semoun a depuis rompu. Voici pourquoi être trop gentil ou l’excès de gentillesse peut causer la dépression! Vous êtes trop gentil avec les autres mais vous vous sentez triste et déprimé tout le temps? Il existerait un lien entre la gentillesse et la dépression. Oui, les gens peuvent être trop gentils et accorder trop d’attention aux autres. Dans certains cas, si vous voulez surmonter votre dépression, vous devez cesser de laisser les gens vous marcher sur les pieds tout le temps. C’est plus facile à dire qu’à faire, mais vous devez vous défendre, et apprendre à ne plus céder. Si vous n’avez pas envie de faire quelque chose, dites-le, ne laissez pas quelqu’un d’autre vous pousser à faire ce qui ne vous donne pas envie. La gentillesse est une vertu qui englobe l’amabilité, la douceur, la bienveillance, l’altruisme et le comportement de bienfaisance. Plusieurs études et recherches suggèrent que c’est un état d’âme avantageux pour la santé physique et psychique. Cependant, la gentillesse abusive peut mener à des situations on ne peut plus pénibles. Elle est nécessaire pour vivre et travailler ensemble, dans l’harmonie. C’est un état d’esprit bénéfique pour la santé physique et psychique. D’ailleurs, plusieurs études scientifiques le prouvent. De plus en plus de managers et de chefs d’entreprises réalisent qu’elle est indispensable dans le monde du travail. Vous êtes trop gentil avec les autres mais vous vous sentez triste et déprimé tout le temps? Lorsque la gentillesse est excessive, elle peut devenir nocive pour soi-même. Si vous êtes trop gentil avec votre entourage et que vous vous sentez triste et déprimé tout le temps, c’est à cause de votre trop grande gentillesse. Il y aurait en effet, un lien entre gentillesse et dépression. Si vous souffrez de dépression, vous faites parie surement de ces gens-là. Ces individus sont comme des esclaves pour certaines personnes; faire tout ce que quelqu’un vous demande de faire ou tout simplement tout prendre sur votre dos. Ceci amène presque immanquablement à souffrir de mal être voir dans les cas les plus extrêmes de dépression. Vous essayez de faire tout ce qui est en votre pouvoir pour faire plaisir, tout ce qu’on vous demande de faire, parfois même sans qu’on vous le demande. Vous voulez qu’on vous aime, qu’on vous accepte, et vous vous tuez à la tâche. Vous faites tout votre possible pour qu’on vous remarque, ce qui vous amène à leur permettre d’abuser de votre gentillesse. Depositphotos Cultiver l’estime de soi Vous ne devez chercher à ne plaire à personne d’autre qu’à vous-même. La seule chose qui prime est votre estime de soi. Ne laissez pas les opinions des autres vous accabler ou prendre plus d’importance que cela en a, parce qu’à la minute où vous donnez la priorité à ce que pensent les autres de vous, vous vous enrôlez dans une spirale dépressive. S’éloigner des ondes négatives Vous devez vous défendre. Si vous vous sentez oppressé, mieux vaut éloigner cette source d’ondes négatives et vous protéger. Vous n’avez pas besoin des personnes qui vous oppressent et vous empêchent d’être heureux. Si quelqu’un se soucie véritablement de votre bonheur, il vous le fera savoir sans être envieux et accablant. S’entourer de personnes attentives Vous n’avez pas besoin des gens qui ne font pas attention à vous, et si quelqu’un veut vous quitter, laissez-le partir. Ne vous accrochez pas si la cause n’en vaut pas la peine. Vous devez être ce qu’il y a de plus important pour vous-même. Vous devez faire en sorte d’être épanoui et d’avoir toute l’estime que vous méritez, alors relevez-vous! Sources Voici pourquoi être trop gentil peut causer la dépression et /

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